Dans un précédent billet, on a parlé des facteurs qui ont favorisé l'installation du français sur le territoire romand au fil des siècles, entraînant du même coup le recul des patois ancestraux. Dans d'autres articles, on a cartographié la vitalité et l'aire d'extension de mots romands, qui n'appartiennent pas au français de référence. Ces mots,…
En y réfléchissant, c’est une traduction littérale et pas très heureuse de l’allemand, je ne suis pas sûr que ce soit une grosse perte :)